Parce qu'elle aime furieusement la vie et qu'elle est condamnée, Anne Bert a décidé de ne pas subir les tortures infligées par la maladie de Charcot. C'est ce cheminent qu'elle raconte ici, celui de devoir mourir hors-la-loi puisque la loi française ne l'autorise pas à abréger ses souffrances.